Martin Yiranek: «Je crois que l'actuelle« Spartacus »n'empêcherait pas"

Tchèque newcomer "Terek" parle ouvertement les six années qu'il a passées en Russie avant Rustam Agayev de Grozny - Martin, vous croyez au destin? - Oui. - Et dans les numéros de magie? - Ne pas y penser. Et que faites-vous? - Son premier match de "Spartacus", vous avez passé le 7 août 2004 contre la «locomotive». Le premier match de la "Terek", vous pouvez passer sept ans plus tard, aussi, le 7 août et, plus intéressant, contre son ancien club. - Vraiment! C'est très intéressant. - Que retenez-vous ce match contre le chemin de fer? - Le fait que ce fut le début de ma carrière en Russie. Avant ce match, je me préparais avec une équipe de seulement dix jours, et ici - à droite sur le terrain, dans l'équipe première. - Si je ne me trompe pas, vous avez alors eu un toupet rouge sur la tête - Oui, je suis pour les Championnats d'Europe de cette coiffure fait. Elle se coucha dans les couleurs de la forme nationale. - Lors de la prochaine réunion avec le rouge et blanc que vous avez quelque chose à prouver à son ancien club? - Je veux vraiment les battre. Ce n'est pas une étrangère pour moi l'équipe pour six ans, j'ai joué pour elle, était son capitaine. Mais maintenant je suis dans le "Terek", et je veux gagner. - En Angleterre, vous avez suivi les performances de son ancienne équipe? - Oui. Autant que possible, en regardant dans l'Internet, regarder des matchs diffusés en ligne. Drew quelques informations dans les journaux. - Et comment vous présenter le jeu de «Spartacus»? - N'est pas convaincant. J'espère que la réunion en personne avec les Moscovites, nous les utilisons. - Que pensez-vous de la situation dans «Spartacus»? Karpin est enlevé, puis laissez - Je ne peux pas dire avec certitude, parce que je ne sais pas ce que l'équipe est maintenant dans l'atmosphère. - Le courant de la défense rouge-blanc jette tu ne crois pas que tu serais encore utile pour le club? - Oui, je suis à 100 pour cent sûr que l'actuel "Spartacus" n'empêcherait pas. Mais c'est une question à l'équipe de direction, pas moi. La version complète de l'entrevue